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La compréhension de mes proches m’a permis de vivre ma passion du malamute. Je voudrais en premier lieu remercier mes parents, Geneviève et Henri Raust pour leur affection, leur générosité et leur disponibilité. Ils m’ont permis de m’installer aux Chats, et ont souvent payé de leur personne quand il s’agissait de garder les chiens, poules, canards, pigeons et autres bestioles pendant mes absences pour me rendre en expositions canines ou en courses de traîneaux. Ma sœur, le docteur vétérinaire Françoise Raust, m’a accompagnée dans cette aventure tout au long de ces années. Elle a vacciné, tatoué, recousu, soigné un nombre incalculable de chiens aux Chats. Nous avons été ensemble à tant d’expositions, de stages, de courses de traîneaux. Elle est ma confidente et ma conseillère. Nous avons œuvré ensemble pour la création de l’Alaskan Malamute Club de France, et c’est une de nos fiertés. Sans son soutien et son affection, rien n’aurait été pareil. Mon premier mari, Norman Palma est celui par qui tout est arrivé : c’est lui qui a voulu avoir des malamutes au début de notre mariage. C’est aussi lui qui a insisté pour que nous nous intéressions à d’autres races. Une fois le virus inoculé, il a fallu me suivre… et il a assumé ! Grâce à lui, depuis 1974, je n’ai jamais eu un instant d’ennui (pas le temps). Merci aussi à Jean-Pierre Couanault, mon second mari pour sa patience exceptionnelle, lui qui s’est trouvé parachuté dans ce monde hyper-canin, qui aime les chiens, mais se passerait bien de mes absences, des appels téléphoniques à toute heure, de jamais ne pouvoir partir en vacances, et autres contraintes dues à la vie avec les chiens. Il proteste souvent, mais il supporte. Si ce n’avait pas été le cas, Over Vale and Dale n’existerait sans doute plus.
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Une passion bien envahissante
